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Qu'est-ce que l'entraînement en altitude ?

CommeEntraînement en altitude est essentiellement la tentative d'obtenir un effet d'entraînement via le niveau de la mer naturel ou simulé.

Comment se déroule l’entraînement en altitude ?

Lorsqu’ils s’entraînent en altitude, les sportifs tentent d’adapter leur corps en vivant ou en s’entraînant dans des situations extrêmes (altitude). Lors d’un entraînement en altitude, les stimuli individuels ne suffisent pas. Ce n'est qu'avec des stimuli de stress répétés que le corps commence à s'adapter à long terme (Fuchs & Reiß, 1990). Afin de déclencher de telles adaptations, des stimuli d’une durée et d’une force suffisantes sont également nécessaires. Le but de cette procédure est d'obtenir une augmentation des performances et de la transférer ensuite aux niveaux de compétition et d'altitude normale.

Environnement modifié

Les stimuli qui forcent le corps à s'adapter à l'altitude sont principalement la modification de la quantité d'oxygène et la pression atmosphérique, qui continue de chuter de façon exponentielle avec l'augmentation de l'altitude (de Marees, 2003). La teneur en oxygène de cet air reste toujours la même à 20,93 %. Mais en raison de la pression atmosphérique réduite, il y a moins de molécules de gaz dans une unité de volume d’air. Par conséquent, la pression partielle de l’oxygène diminue proportionnellement à la pression de l’air. Par exemple, à une altitude de 5 000 m, nous n’avons qu’une pression partielle d’oxygène de 50 %.

Ajustement

Afin de contrecarrer un sous-approvisionnement en oxygène, le corps commence à augmenter le volume respiratoire minute et à augmenter le débit cardiaque en cas de sous-approvisionnement aigu (hypoxie) afin d'alimenter toutes les zones importantes en sang riche en oxygène. Pour l’athlète, cela signifie une activité respiratoire accrue pour assurer une saturation suffisante en oxygène. De plus, le sang s'épaissit pour déplacer davantage d'érythrocytes (globules rouges) par battement de coeur (de Marees, 2003).
Mais l’effet réellement recherché de l’entraînement en altitude est une augmentation de la production de globules rouges afin de pouvoir lier davantage d’oxygène dans le sang. C'est ainsi que se produit l'augmentation souhaitée de la production d'érythrocytes (globules rouges) lorsque l'on reste en altitude pendant plusieurs semaines, atteignant une valeur finale au bout de 4 à 6 semaines (de Marees, 2003). Un autre effet secondaire positif est que les muscles qui travaillent s’habituent aux besoins réduits en oxygène et apprennent à y faire face.

Comment l’entraînement en altitude affecte-t-il l’athlète ?

L'effet réel de l'entraînement en altitude est que les conditions difficiles et l'entraînement en altitude conduisent à un niveau de fonction plus élevé, que l'on essaie de transférer dans des conditions normales. Cependant, l'entraînement en altitude est également souvent utilisé pour s'acclimater lorsqu'une compétition doit se dérouler à haute altitude (par exemple Mexico - 2 310 m au-dessus du niveau de la mer) (Fuchs, 1995). Mais en dehors de l’acclimatation, les sports d’endurance de longue distance impliquent avant tout un entraînement en altitude (Levine/Stray-Gundersen, 1997). En raison des adaptations physiologiques du corps, une augmentation significative des performances peut être observée dans ces sports si l'entraînement en altitude est effectué correctement et professionnellement. L'apport d'énergie aérobie s'améliore grâce à un meilleur travail musculaire et à un transport accru d'oxygène, ainsi qu'une meilleure circulation sanguine dans le tissu musculaire (Fuchs & Reiß, 1990). Mais pour les sports de haute intensité comme les arts martiaux, divers jeux sportifs (handball, football, etc.) ou certaines parties de l'athlétisme comme le sprint sur 100 m, les inconvénients ont tendance à l'emporter sur les inconvénients. L'augmentation des valeurs d'hématocrite dans le sang entraîne une augmentation de la viscosité (viscosité), ce qui entraîne une augmentation du travail cardiaque et un moindre apport aux petits vaisseaux sanguins. Par conséquent, l’entraînement en altitude n’est pas recommandé pour les exercices de haute intensité, sauf pour s’acclimater à un sport de compétition (de Marees, 2003).

Avantages de l’entraînement en altitude :

  • + Augmentation de la capacité en oxygène du sang

  • + Améliorer la circulation sanguine dans le muscle

  • + Amélioration de l'apport énergétique aérobie dans le muscle

  • + adapté aux athlètes d'endurance

  • +performance améliorée à niveau normal

Inconvénients de l’entraînement en altitude :

  • – augmentation de la viscosité du sang (viscosité)

  • - Cela augmente la charge de travail du muscle cardiaque

  • – et la diminution du débit cardiaque qui en résulte (litres pompés dans l’organisme par le cœur par minute)

  • – très cher et prend du temps

  • – Surveillance médicale nécessaire

  • – quasiment impossible pour les « non-professionnels ».

Pourquoi le masque d'entraînement Phantom ne propose-t-il pas d'entraînement en altitude ?

La question est souvent posée de savoir si le masque d’entraînement Phantom a le même effet sur l’entraînement ou sur votre corps qu’un entraînement en altitude, ou s’il simule un « entraînement en altitude ». Mais nous devons sans cesse répondre à cette question. C'est une sorte de « mythe urbain ».

 

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